132 pages. 2022. World rights available
L’unique roman d’un écrivain mort à vingt-sept ans. Un chef-d’œuvre intemporel.
L’appartement de Jean Dézert est bas de plafond, son existence aussi. La routine est son mode de vie naturel. Il dîne chaque soir au même endroit, avec son unique ami.
Mais heureusement, il y a les dimanches. Toute la semaine, il attend ce jour merveilleux pour déambuler dans Paris au gré des hasards. Un jour, ou plus exactement un dimanche, le hasard s’appelle Elvire, jeune fille fantasque qui frôle Jean Dézert devant le bassin des otaries du Jardin des Plantes. Ses habitudes s’en trouvent bousculées. Pas trop longtemps, toutefois, parce que l’amour, c’est tout de même beaucoup de chambardements…
Illustrations de Christian CAILLEAUX.
Parmi les grands écrivains morts à la guerre, il y en a aussi des petits, comme Jean de La Ville de Mirmont (1886-1914), fauché dans les premières semaines du conflit. Il laisse derrière lui une œuvre restreinte dont la modernité permet d’entrevoir l’étendue de son talent avorté : un recueil de poèmes, L’horizon chimérique (publication posthume en 1920), quelques contes publiés dans des revues (rassemblés en recueil en 1923) et un court roman, Les dimanches de Jean Dézert, qu’il fait paraître à compte d’auteur quelques mois avant d’être envoyé au front.
Among the great writers who died in the WW1, there are also some lesser ones, like Jean de La Ville de Mirmont (1886-1914), who died in the first weeks of the conflict. He left behind a limited body of work, the modernity of which provides a glimpse of the extent of his aborted talent: a collection of poems, L'horizon chimérique (published posthumously in 1920), a few stories published in magazines (collected in 1923) and a short novel, Les dimanches de Jean Dézert, which he published on a self-publishing basis a few months before being sent to the front.
Among the great writers who died in the WW1, there are also some lesser ones, like Jean de La Ville de Mirmont (1886-1914), who died in the first weeks of the conflict. He left behind a limited body of work, the modernity of which provides a glimpse of the extent of his aborted talent: a collection of poems, L'horizon chimérique (published posthumously in 1920), a few stories published in magazines (collected in 1923) and a short novel, Les dimanches de Jean Dézert, which he published on a self-publishing basis a few months before being sent to the front.
preface by Marie Boizet
Presse
C’est le plus moderne des livres d’autrefois. Du Houellebecq, avec un siècle d’avance. […] Un roman désolant et désopilant. […] Lisez « les Dimanches », et faites passer. Merci.
Jérôme Garcin, L’Obs.
Un livre d’une étrange et stupéfiante beauté.
Astrid de Larminat, Le Figaro.
Si l’expression roman culte a un sens, c’est pour des livres tels que celui-là.
Olivier Mony, Livres Hebdo.
Un immense petit bijou.
Séverine Guillemet, Sud Ouest.
Une oeuvre qui traverse le temps, subtilement illustrée par Christian Cailleaux.
Christine Ferniot, Télérama.
Admirablement illustré par Christian Cailleaux, ce chef-d’oeuvre respire avec élégance un détachement qui ne se prend pas au sérieux. C’est brillant.
Sandrine Mariette, ELLE.
Ce texte singulier reste d’une troublante modernité.
Philippe Blanchet, Rolling Stone.
On tombe sous le charme de ce texte juvénile, un texte plein d’humour, au charme un peu décalé. […] Christian Cailleaux vient orner ce petit bijou d’illustrations sans ostentation, au plus près de l’esprit de ce très beau livre.
Thierry Bellefroid, RTBF.
Voici un court roman à glisser sous le sapin. Tout y est charmant, simple, joli. […] Un petit bijou de finesse.
Clete, Nyctalopes.
Après l’avoir croisé, on n’oublie pas ce familier quidam, simple et attachant. […] Un court roman de la solitude, du désenchantement et de la lucidité dans une version finement illustrée par Christian Cailleaux.
Le Télégramme.
Les dimanches de Jean Dézert est un de ces rares livres qui, sans faire de bruit, tisse une communauté de lecteurs à travers les années. […] Les illustrations de Christian Cailleaux se marient parfaitement avec le texte, et sont un écho à l’incroyable modernité de ce roman. […] Un texte qui, l’air de rien, va vous hanter pendant longtemps.
Jean-Philippe Blondel, Est Eclair.