176 pages. 2020. World rights available.
Avril s’inquiète pour Elias. Elle l’aime, mais il est si secret, si étrange parfois. Craintif, aussi. Elle voudrait comprendre ce qui le tourmente, ce qui l’empêche de vivre pleinement.
Mais comment Elias pourrait-il lui confier ce qu’a été son enfance ? Pas facile, dans un petit village, d’être le fils du « fou ». De celui qui se dit magnétiseur, médium et qui fait subir à sa famille la tyrannie de ses discours et de ses délires.
L’amour d’Avril suffira-t-il pour qu’Elias échappe à cette enfance abîmée ?
Victor Pouchet est né en 1985.
Avril is worried about Elias. She loves him, but he's so secretive, so strange sometimes. Fearful, too. She wants to understand what is tormenting him, what is preventing him from living life to the full.
But how can Elias tell her about his childhood? It's not easy, in a small village, to be the son of a 'madman'. One who claims to be a magnetizer, a medium, and who subjects his family to the tyranny of his speeches and delusions.
Will Avril's love be enough for Elias to escape this damaged childhood?
Victor Pouchet was born in 1985.
Un roman étrangement poétique où ce qui n’est pas dit compte autant, sinon plus, que ce qui l’est.
Raphaëlle Leyris, Le Monde.
Une merveille de roman au charme fou, tout en nuances.
Astrid de Larminat, Le Figaro.
Le roman de Victor Pouchet est ensorcelant. [...] Cet écrivain-là est vraiment un magicien.
Jérôme Garcin, L’Obs.
Roman d’apprentissage vertigineux, fable animalière pour humains en désordre, Autoportrait en chevreuil est aussi un très beau récit poétique qui laisse espérer, pour Elias et tant d’autres enfants perdus, un « monde où l’on partage le plaisir des choses douces ».
Christine Ferniot, Télérama.
Un Pessoa surréaliste égaré au pays des dolmens.
Louis-Henri de La Rochefoucauld, L’Express.
Un petit manuel d’évasion sous forme de conte familial, sensible et touchant.
Matthieu Marin, Ouest France.
Entre humour et mélancolie, Victor Pouchet confirme avec ce deuxième roman un univers étrange et poétique. Sophie Joubert, L’Humanité.
Ce petit livre à l’écriture délicate, précise, douce, à la tonalité si juste est une attachante exploration des territoires de l’enfance.
Pierre Assouline, La République des livres.
Un récit atypique, où la question de la différence est présente du début à la fin.
Var-Matin.