« L’écologie, c’est le retour à la bougie », « Ce qu’il faut, c’est un capitalisme responsable », « Les écologistes sont des bobos privilégiés »... Les idées fausses sur l’écologie et les écologistes ne manquent pas. Pourtant, c'est l’avenir de nos sociétés qui est en jeu : face à l’urgence climatique, trop de positions partisanes caricaturales retardent le moment d’agir... En s’appuyant sur une documentation solide et récente, Frédéric Amiel propose dans ce livre des réponses caustiques et engagées à ces idées fausses qui sapent trop souvent la qualité du débat nécessaire sur l’avenir de nos sociétés. À commencer par la première de toutes : celle qu’il y aurait une et une seule vérité. L’écologie est avant tout affaire de choix, et s’accommode mal des grandes sentences. Ce livre cherche donc à la fois à répondre précisément à des interrogations légitimes, mais également à ouvrir des questionnements et des réflexions pour construire ensemble une écologie désirable et enthousiasmante, loin du cliché catastrophiste dans lequel on enferme trop souvent les écologistes. Il s’adresse donc aux écologistes convaincus comme à ceux qui se posent des questions. Et pourquoi pas, à ceux qui se méfient encore...

"Ecology means a return to candlelight", "What we need is responsible capitalism", "Ecologists are privileged bobos"... There is no shortage of misconceptions about ecology and ecologists. Yet it is the future of our societies that is at stake: in the face of the climate emergency, too many caricatured partisan positions are delaying the time to act... Drawing on solid, recent documentation, Frédéric Amiel offers caustic, committed responses to the misconceptions that all too often undermine the quality of the necessary debate on the future of our societies. Starting with the first misconception of all: that there is one and only one truth. Ecology is first and foremost a matter of choice, and it's not easy to make sweeping statements. This book seeks to provide precise answers to legitimate questions, but also to raise questions and encourage reflection, so that together we can build an ecology that is both desirable and inspiring, far removed from the doomsday cliché in which ecologists are too often confined. It is therefore aimed at convinced ecologists as well as those who have questions. And why not, for those who are still wary...