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Behind the signs, there are people
Joseph Incardona
Derrière les panneaux, il y a des hommesBehind the signs, there are people
288 pages. 2015. Sold in Italian (NN Editore) - German (Lenos Verlag)
FICTION
DETECTIVE NOVELS - THRILLERS - NOIR
Grand prix de littérature policière
Une autoroute, le week-end du 15 août: unité de lieu, unité de temps. Tout un microcosme: patron de snack, camionneurs, serveurs, prostituées, gendarmes, etc., qui restent là et voient passer des milliers de voitures. Une micro-société parfaitement organisée entre deux aires de repos, avec ses codes, ses habitudes. Des invisibles que les vacanciers ne voient même pas, un décor banal. Et Joseph Incardona introduit un grain de sable : Pierre. Six mois qu’il tourne sur cette autoroute, depuis que sa fille a disparu sur une aire. Il vit là, n’en sort jamais. Il cherche le détail qui lui permettrait de savoir, de comprendre. Il attend. Ce fameux week-end du 15 août, une autre fillette disparaît: pour les parents, le monde s’écroule; pour les gendarmes, c’est une affaire épineuse ; pour Pierre, une chance. Tout est une question de point de vue. C’est le neuvième roman de Joseph Incardona : le plus ambitieux, le plus travaillé. Le style de la narration est sec, à l’os, très visuel (l’auteur est également scénariste). Mais la narration est émaillée de digressions, comme si on avait zoomé sur un objet ou sur un sentiment, afin d’éclairer autrement une scène ou un personnage. Cette double focale, parfaitement maîtrisée, rend l’écriture du roman profondément originale. Un coup de maître.
Joseph Incardona (né en 1969) est Suisse d’origine italienne. Il est l’auteur d’une quinzaine de romans ou de recueils de nouvelles. Il est aussi scénariste pour la BD, le cinéma ou la télévision, dramaturge et réalisateur (un long métrage en 2013 et plusieurs courts métrages).
A motorway, on the weekend of 15 August: unity of place, unity of time. A whole microcosm: snack bar owners, lorry drivers, waiters, prostitutes, policemen, etc., who stand by and watch thousands of cars go by. A perfectly organised micro-society between two rest areas, with its own codes and habits. Invisible people that holidaymakers don't even see, an ordinary setting. And Joseph Incardona introduces a grain of sand: Pierre. He's been touring this motorway for six months, ever since his daughter disappeared at a rest stop. He lives there and never leaves. He looks for the detail that will enable him to know, to understand. He waits. On that famous weekend of 15 August, another little girl disappears: for the parents, the world falls apart; for the police, it's a thorny issue; for Pierre, it's an opportunity. It's all a question of point of view. The narrative style is dry, raw and highly visual (the author is also a screenwriter). But the narrative is peppered with digressions, as if we had zoomed in on an object or a feeling, in order to shed new light on a scene or a character. This double focus, perfectly mastered, makes the writing of the novel profoundly original. A master stroke.
Joseph Incardona (born 1969) is a Swiss of Italian origin. He is the author of around fifteen novels and collections of short stories. He is also a scriptwriter for comics, cinema and television, a playwright and a film director (a feature film in 2013 and several short films).
« Ce roman haletant, ambitieux, au style nerveux, incantatoire, est une peinture sans concession d’un microcosme où ‘‘la tragédie est plus fréquente que le bonheur’’. » La Croix « A la fois roman noir et tragédie contemporaine. [...] L’écriture poétique, le rythme sans cesse en mouvement ajoutent encore de la puissance à cette œuvre sombre. » Télérama « C’est du beau roman noir, du très très noir, du très grand noir. » Libération « L’écriture de J. Incardona est tranchante et rapide, elle a le don de faire surgir des images, des odeurs, un malaise palpable. On pense à certains romans de Michel Houellebecq. » Le Courrier