184 pages | 40 - 000 words. Forthcoming in English in Fall 2024. All language rights available except Bengali - English and Italian (Metropoli D'Asia)
Une vision absurde du paysage politique du Bengale, pleine de personnages surréalistes et farfelus.
Le maréchal Bhodi Sarkar et son lieutenant Sarkhel creusent subrepticement sur les rives du Gange à la recherche de réserves de pétrole brut. Au lieu de cela, ils déterrent des poignards recourbés, des épées rouillées et un canon portugais "baby dick". Bhodi est un militaire occasionnel et le principal sorcier de la secte secrète de magie noire Choktars. Il s'associe aux Flaperoos volants - des hommes qui ont une prédilection pour l'alcool et le vandalisme - pour déclarer une guerre totale au gouvernement marxiste-léniniste du Bengale-Occidental. Au cours d'une révolution sans effusion de sang, fascinante par sa totale invraisemblance, une équipe hétéroclite de personnages encore plus invraisemblables se réunit : un corbeau qui parle, le fantôme mort mais non disparu de la douairière Begum Johnson et un commissaire de police qui porte un casque pour que sa tête coupée reste attachée à son corps.
Dans une fiction magico-réaliste, ce roman surréaliste déchaîne le chaos du carnaval sur le familier. À la fois descendant littéraire du Maître et Marguerite de Boulgakov et reconstruction d'une histoire bengalie perdue, le chef-d'œuvre de Nabarun Bhattacharya est un fil jubilatoire et pétillant d'anarchie et d'insurrection subalternes.
Nabarun Bhattacharya (1948-2014) est né dans une famille d'écrivains, de cinéastes, d'artistes et d'universitaires. Journaliste de 1973 à 1991 dans une agence de presse étrangère, il abandonne cette carrière pour devenir écrivain à plein temps. Herbert a été publié en 1992 et a remporté les prix Bankim et Sahitya Akademi. Parmi ses œuvres les plus connues figurent Kangal Malshat (2003), Ei Mrityu Upotyoka Aamaar Desh Na (2004) et Phyataroor Bombachak (2004). Romancier et nouvelliste, il fut également un poète prolifique et, de 2003 à sa mort, rédacteur en chef du journal Bhashabandhan.
An absurdist take on the political landscape of Bengal, full of surreal and outlandish characters.
Marshall Bhodi Sarkar and his lieutenant Sarkhel surreptitiously dig on the banks of the Ganges River looking for crude oil reserves. Instead, they unearth curved daggers, rusty broadswords, and a Portuguese ‘baby dick’ cannon. Bhodi is an occasional military man and the lead sorcerer of the secret black-magic sect Choktars. He joins forces with the flying Flaperoos—men with a predilection for alcohol and petty vandalism—to declare outright war against the Marxist–Leninist West Bengal government. In a bloodless revolution that is fascinating in its utter implausibility, a motley crew of yet more implausible characters come together: a primordial, talking Raven; the dead-yet-not-gone ghost of the dowager Begum Johnson; and a police commissioner who wears a helmet to keep his severed head attached to his body.
In a magic-realist fictional remapping of Calcutta, this surreal novel unleashes the chaos of the carnival on the familiar. Part literary descendent of Bulgakov’s The Master and Margarita and part a reconstruction of lost Bengali history, Nabarun Bhattacharya’s masterpiece is a jubilant, fizzing wire of subaltern anarchy and insurrection.
Nabarun Bhattacharya (1948–2014) was born into a family of writers, filmmakers, artists, and academics. A journalist from 1973 to 1991 at a foreign news agency, he gave up that career to become a full-time writer. Herbert was published in 1992 and won the Bankim and Sahitya Akademi awards. Some of his best-known works are Kangal Malshat (2003), Ei Mrityu Upotyoka Aamaar Desh Na (2004) and Phyataroor Bombachak (2004). Novelist and short-story writer, he was also a prolific poet and, from 2003 until his death, editor of the Bhashabandhan journal.
Originally published in Bengali.
Bhattacharya provides a sweeping view of the richness and the turmoil of Bengali culture, literature, and politics in the twentieth century.—The New Yorker
Bhattacharya offre une vue d'ensemble de la richesse et de l'agitation de la culture, de la littérature et de la politique bengalies au XXe siècle.—The New Yorker